Fustier, 1889 : « Un autre coin amusant est celui des femmes en pénitence. On appelle Être en pénitence, à Monte-Carlo, ne pas jouer. Elles sont en pénitence pour la journée, la semaine ou la fin du mois, parce qu’elles ont perdu ce qu’elles avaient à jouer et que leurs maris ou leurs fils ne veulent plus desserrer les cordons de leurs bourses. C’est un véritable enfer que de voir jouer et de ne pas jouer. »
(Revue politique et littéraire, 1882.)
France, 1907 : Ne pouvoir jouer faute d’argent ; argot des croupiers. « On voit à Monte-Carlo les joueurs malheureux rôder autour des tables regardant tristement le tapis ; les habitués et les croupiers disent qu’ils sont en pénitence. »
Elles sont en pénitence pour la journée, la semaine ou la fin du mois, parce qu’elles ont perdu ce qu’elles avaient à jouer.
(Revue politique et littéraire)